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PORTRAIT DU VICOMTE LOUIS DE BONALD EN TENUE DE PAIR DE FRANCE Attribué à Louis HERSENT (1777 - 1860) Paris, vers 1824 Huile sur toile Monogrammée MT en bas à droite Dimensions de la toile : 129 x 95 cm Dimensions avec le cadre : 159 x 125 cm Provenance : D’après une tradition orale, ce tableau serait resté, par descendance, dans la famille de Bonald jusqu’à sa vente en juin 2020 Publication : Couverture de la monographie « Louis de Bonald, philosophe et homme politique (1754-1840) », par Flavien Bertran de Balanda, CNRS Éditions, 2021. Prix du jury de la Fondation Napoléon 2021 Louis de Bonald est représenté debout de trois-quarts, la jambe droite légèrement fléchie vers l’avant. Il est revêtu du grand costume de cérémonie des pairs de France sous la Restauration : manteau bleu-roi, richement orné de semis de fleurs de lys et de parements brodés sur le revers et doublé d’hermine, et cravate de dentelle. Bonald tient dans la main droite le chapeau à trois cornes décoré de plumes blanches ; et dans la main gauche le glaive de cérémonie, dont la fusée est ornée de plaquettes de nacre. Ce portrait est présenté dans son cadre d’origine, en bois et stuc doré, richement orné de fleurs de lys dans les écoinçons et d’une frise de feuilles de chêne en haut relief. Par ses dimensions et la posture hiératique du modèle, ce portrait de Louis de Bonald peut être considéré comme un portrait semi-officiel d’un pair de France qui vient d’être élu. En effet, ce portrait d’apparat reprend les canons esthétiques des portraits officiels largement répandus dans la peinture européenne : dans une composition sobre, sans draperies, ni accessoires superflus, le modèle se détache sur un fond neutre et sombre, permettant au peintre de porter l’attention sur le visage et les vêtements de son sujet. Majesté, grandeur, et puissance se dégagent de ce portrait de Louis de Bonald, grâce à la pénombre nuancée, percée d’une lumière douce et au soin apporté aux détails et notamment au rendu des étoffes. Il s’agit là du portrait le plus important de ce personnage historique qui fréquenta les grands de son temps. Redécouvert tout récemment, il proviendrait de la famille de Bonald. Il n’est ni signé, ni annoté au verso, mais l’identité du modèle ne fait aucun doute, lorsqu’on le compare aux autres portraits connus de Louis de Bonald. De même, l’attribution de cette œuvre à Louis Hersent peut être considérée comme certaine pour les raisons que nous allons développer ci-dessous. Portraits connus de Louis de Bonald Bonald a été portraituré par différents artistes de premier plan du début du XIXe siècle, parmi lesquels Boilly, Heim et Hersent. D’autres portraits nous sont parvenus par le biais de lithographies. Cet ensemble permet de connaître précisément la physionomie de Louis de Bonald, et ce à différents âges. Mais c’est le portrait peint par Louis Hersent en 1823 qui nous semble le plus intéressant parmi le corpus de portraits du philosophe rouergat. Très bien documenté, bien qu’actuellement non localisé, ce tableau permet d’attribuer avec certitude la paternité de notre portrait à ce même peintre. Attribution à Louis Hersent Ce portrait de Louis de Bonald fut réalisé par Louis Hersent en 1823, à la demande d’Aimé de Clermont-Tonnerre pour orner son château de Glisolles. Si la localisation actuelle de ce tableau nous est inconnue, en revanche nous connaissons bien son histoire grâce à une lettre adressée par son commanditaire à son épouse Charlotte, datée du 23 mai 1823, dans laquelle il indique que ce tableau a été payé 600 francs. Dans cette missive, celui qui était alors ministre de la Marine note : « Hersent l’a peint suivant son caractère et tu reconnaîtras ici la nuance de l’esprit d’Hersent. Le modèle ne regarde pas celui qui est en face. Les yeux sont attachés évidemment à sa pensée, mais sa bouche sourit et indique qu’à travers sa préoccupation M. de Bonald s’aperçoit qu’on vient à lui et qu’on l’observe. Il te fera un plaisir extrême et c’en est un pour moi de penser que ce portrait et celui de l’abbé Frayssinous passeront à nos enfants et petits-enfants avec les portraits de famille. Ils se diront : ces deux hommes respectables étaient les amis de nos parents. Ils en concevront de nous une idée meilleure.[1] » La parenté stylistique de notre tableau avec ce portrait réalisé par Louis Hersent en 1823 permet d’attribuer avec certitude la paternité de celui que nous présentons à ce même peintre. Si la composition entre les deux tableaux est inversée, en revanche nous relevons de grandes similitudes tant dans la posture du modèle que dans le traitement du visage. Par ailleurs, de toute évidence, le sujet a le même âge sur les deux tableaux. Pour ces raisons, nous formulons ici l’hypothèse selon laquelle notre tableau aurait été réalisé quelques mois après la commande passée par le duc de Clermont-Tonnerre. Les recherches effectuées par Anne-Marie de Brem[2] nous permettent d’avoir une connaissance assez précise du fonctionnement de l’atelier de Louis Hersent. Ainsi, celui-ci avait l’habitude de conserver des réductions des portraits commandés, ce qui permettait non seulement de présenter les œuvres réalisées à d’autres clients, mais également d’effectuer, si besoin, des copies. Ainsi, il nous semble fort probable que ce portrait de Bonald ait été réalisé par Hersent quelques temps après l’élection de Bonald à la pairie, et l’obtention de la pension correspondante qui lui donnait les moyens financiers de payer une telle commande. En revanche, les différences significatives entre les deux tableaux (position inversée, tenue vestimentaire) ainsi que la qualité d’exécution nous incitent à penser que nous ne sommes pas devant une copie réalisée par un des nombreux élèves d’Hersent, mais bien devant l’œuvre du maître. Louis de Bonald Enfant des Lumières, mousquetaire, publiciste, écrivain, critique littéraire, homme politique au sens large, père de la sociologie moderne, philosophe. Les adjectifs sont multiples pour tenter de qualifier celui qui est trop souvent réduit à ses positions contre-révolutionnaires et monarchistes. En ce sens, la magistrale biographie récemment publiée par Flavien Bertran de Balanda rend la place qu’il convient à Bonald, celle d’une figure intellectuelle majeure de la première moitié du XIXe siècle[3]. Louis-Gabriel-Ambroise de Bonald, vicomte de la Rode, est né le 2 octobre 1754, à Millau. Il est issu d’une vieille famille noble du Rouergue, dans laquelle on compte de nombreux juristes. Après le décès de son père, alors qu’il n’a que 4 ans, il entre au collège de Juilly tenu par des oratoriens, où il découvre avec intérêt la pensée des philosophes des Lumières et notamment Rousseau. Après avoir servi pendant un temps comme mousquetaire, il revient sur ses terres natales et devient maire de Millau en 1785. Tout d’abord favorable aux idées novatrices portées par la Révolution française, il est élu membre puis président de l’Assemblée du département (1790). Mais, rapidement, les attaques contre l’Église catholique vont heurter ses profonds sentiments religieux. En janvier 1791, il démissionne de ses fonctions et émigre à Heidelberg où se trouve l’armée du Prince de Condé. Il y découvre sa vocation d’écrivain catholique et contre-révolutionnaire. Il publie ainsi en 1796 sa monumentale Théorie du pouvoir politique et religieux, ouvrage central de la pensée bonaldienne et qui deviendra plus tard la bible des ultras de la Restauration. Après le coup d’État du 18 Brumaire, il s’installe officiellement à Paris, où il fréquente et se lie d’amitié avec Chateaubriand, Fontanes et Molé. Il collabore alors au Mercure de France et au Journal des débats, et publie différents ouvrages. Ses écrits, qui traitent notamment de la légitimité du pouvoir et de l’autorité, lui attirent l’intérêt de l’empereur, qui cherche à en faire un de ses conseillers. Si Bonald semble un temps fasciné par le nouveau régime bonapartiste, il n’en demeure pas moins un fervent royaliste et il refuse l’offre de Napoléon de faire réimprimer sa Théorie du pouvoir s’il retirait le nom du roi. Napoléon lui propose, en 1807, la direction du Journal de l’Empire, mais sans parvenir à le convaincre[4]. Enfin, l’empereur lui offre un poste de conseiller de l’Université en septembre de l’année suivante, que Bonald finit par accepter en 1810 sous les demandes pressantes de Fontanes. L’acceptation de ce poste semble plus la conséquence d’une forme de résignation qu’une réelle adhésion au régime impérial, dont la chute semble, tôt ou tard, acquise pour Bonald, en raison de son caractère belliqueux. Après la parenthèse des Cent-Jours, c’est bien la Restauration qui consacrera l’entrée effective de Bonald en politique. Il est constamment réélu député de son département de 1815 à 1822, jusqu’à ce qu’il soit appelé en 1823 à la Pairie par Louis XVIII, et figure parmi les orateurs les plus prestigieux du « côté droit ». Il fut également Ministre d’État et membre du Conseil privé du roi[5]. Tout à la fois idéaliste et pragmatique, il consacre en priorité son action politique à la réédification des âmes et des esprits. Pour Bonald, il s’agissait de rendre à l’Église la place qui lui avait été ravie par la Révolution et imparfaitement rendue par Napoléon, dans le cadre de cette union du Trône et de l’Autel dont Louis XVIII et Charles X tentaient de faire la pierre angulaire de leur règne[6]. Durant cette période, il entretint une importante correspondance avec Joseph de Maistre, avec lequel il apparaît comme le chef spirituel des ultras. En parallèle de sa vie politique, il continue son activité de publiciste et d’écrivain, avec une reconnaissance certaine au point d’être nommé à l’Académie Française en 1816, où il succède à Cambacérès et occupe le fauteuil 30. En 1830, Bonald renonce à la Pairie pour ne pas avoir à prêter serment au duc d’Orléans devenu roi des Français, et se retire à Millau, où il terminera sa vie dans la plus grande discrétion. À
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