Tamara Rojo and Akram Khan in Akram Khan's Dust as part of Lest We Forget.
World Premiere: 16 September 2010, Curve, Leicester
With his new dance spectacular, Akram Khan has returned to the story of an unsung heroine from the Mahabharata. Take a closer look at the show
Tamara Rojo and Akram Khan in Akram Khan's Dust as part of Lest We Forget.
World Premiere: 19 September 2006, Sadler's Wells, London
Kathak meets ballet in this duet first performed at Sadler’s Wells in 2006 and now back for its final run of performances before Guillem’s retirement
Description Ustad performs his own creation, "Enayetkhani Kanada," named after & dedicated to his father & guru, the great sitarist Ustad Enayet Khan. The moods run the gamut from euphoria to sadness as Vilayat Khan fondly remembers his father, while ading new dimension & depth to the Kanada raga rendition. Joining him is tabla player Akram Khan. Track List: Disc: 11. Raga Enayetkhani Kanada: Alap 2. Raga Enayetkhani Kanada: Jor 3. Raga Enayetkhani Kanada: Vilambit Gat in Tintal
World Premiere: 15 September 2011, Curve Theatre, Leicester
Tamara Rojo and Akram Khan in Akram Khan's Dust as part of Lest We Forget.
Mr Khan wants the discipline to be included on the national curriculum
Choreographers Akram Khan and Israel Galván dance to two different beats – kathak and flamenco. Their new project, Torabaka, is more than a fusion of the two. They tell us what it means and how they work
Dans le cadre de la programmation Hors les murs du Théâtre de la Ville, venez découvrir à la Villette le tout nouveau solo d'Akram Khan, Xenos, présentée du 12 au 22 décembre 2019.
World Premiere: 21 February 2018, Onassis Cultural Centre, Athens
A La Villette, une adaptation très combative du Mahabharata, où Akram Kahn rend hommage aux femmes. Le rond, le cercle, la spirale... Until the lions tourne en rond, mais tourne à plein régime. Ce drame pour trois danseurs, quatre musiciens et une représentation divine, créé au cirque d’hiver londonien du Roundhouse, se voit offrir à La Villette un dispositif impressionnant pour le public, autour d’une scénographie spectaculaire, tronc d’un baobab millénaire coupé au ras du sol. Symbole de force millénaire, le cercle fondateur renvoie à la terre et aux racines. A la violence aussi, ou à la foudre. Un arbre pareil ne tombe pas sans raison. Quand Bheeshma touche la joue d’Amba, il retire sa main comme d’un feu brulant. Leur accouplement ressemble à un numéro d’acrobatie au sol, comme par une espèce animale fantaisiste. Pourtant, nous ne sommes pas au cirque, malgré le titre, malgré l’animalité guerrière des trois fauves humaines, malgré les impressionnants gradins circulaires installés à la Grande Halle. Mais dès l’entrée du public, l’ambiance est spectaculaire, comme chez Bartabas, dans le fief de Zingaro. Batailles et combats Until the lions mélange kathak, contorsion, ballet et danse contemporaine brulant d’un feu ataviste, reflet des dimensions divines d’une épopée fondatrice et guerrière. Dans l’univers du Mahabharata, les batailles sont l’affaire des hommes, mais un combat peut opposer les deux sexes. Le drame en question tourne autour de l’affront que Bheeshma inflige à Amba, fille du roi Kashi, enlevée par Bheeshma, fils du roi Kuru. Face aux dieux, Bheeshma a fait vœux de célibat pour se consacrer entièrement à la guerre. En secret, il aime Shalva mais enlève Amba pour la donner en épouse à son demi-frère. Découvrant qu’Amba est amoureuse d’un autre homme il la libère. Désormais rejetée de tous parts, Amba se suicide par le feu pour renaître sous la forme de Shikandi. Redoutable princesse guerrière, elle se double pourtant d’Arjuna. Ensemble, ils ne laissent aucune chance à Bheeshma qui meurt sur un lit de flèches. Et si le Mahabharata avait été écrit par des femmes? Dans ce cas, nous aurions sans doute un autre récit. Until the lions est inspiré de l’adaptation du Mahabharata par l’écrivaine Karthika Naïr. Celle-ci ne croit pas que Bheeshma enlève Amba de manière désintéressée. Son plan est bien de jouir d’elle et Until the Lions s’empare de cette vision, sans la moindre ambiguïté. Don Juan qu’il est, Bheeshma refuse ensuite de prendre Amba pour femme. Sur le tronc du baobab, leur affrontement final est un festival des passions, soutenu par des rythmes atavistes. Les percussions d’un autre temps se mélangent aux sonorités contemporaines. Car dans le Mahabharata, le temps est courbe, alors que dans un spectacle de danse il est extensible à volonté, ce qui permet de consacrer l’ensemble des quatre mille secondes d’Until the Lions à une seule scène de l’épopée. Galerie photo © Jean-Louis Fernandez , Malgré ce qui manque… Malgré la force dramatique de ce dernier combat de Bheeshma, il manque à Until the Lions une mise en perspective, que les musiciens seuls ne peuvent incarner. Ils sont parti prenant du drame, ils sous-tendent et soulignent au lieu de créer un contre-point. Aussi cet univers chargé reste trop prévisible, ce qui qui porte atteinte à un spectacle bien plus qu’à une épopée de mille pages. Et pourtant, Until the Lions est à couper le souffle, grâce à ses trois interprètes. Au-delà de son énergie déjà guerrière, Ching-Ying Chien confère à Amba l’âme déchirée d’une femme en perdition, avec la profondeur d’une actrice de cinéma. Il y a de la cohérence dans le fait qu’Akram Khan a créé en même temps sa relecture de Giselle, avec le English National Ballet. Le moment le plus remarquable d’Until the Lions est celui où Amba meurt sous les projecteurs, quand ceux-ci se braquent sur elle et sa robe blanche comme pour la disséquer. La mort du cygne semble alors trouver sa destinée ultime. Quant à Christine Joy Ritter, elle n’a pas besoin de jouer, elle incarne Shikandi l’amazone avec un naturel confondant. Et Akram Khan donne à Bheeshma sa virtuosité de danseur contemporain et de kathak, sans oublier la noblesse du personnage, malgré le regard critique de Naïr sur le personnage et ses multiples trahisons. C’est par amour qu’il se laisse finalement tuer sans se défendre. Et les quatre musiciens lui préparent son lit de flèches, comme s’il s’agissait d’un bûcher. Thomas Hahn Spectacle vu le 5 décembre 2016 La Villette, Grande Halle Du 5 décembre au 17 décembre Tous les soirs à 20h Relâche les 7, 11 et 15 décembre Durée : 1h https://lavillette.com/evenement/akram-khan Dates de tournée : Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, 20 - 21 janvier 2017 Angers, Le Quai , 16 février 2017 Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau , 21 - 22 février 2017 Brest, Le Quartz 26 - 27 février 2017 Opéra de Reims, 3 - 4 March 2017 Montreal, QC, Canada, La TOHU 17 - 25 mars 2017 Les Gémeaux, Sceaux, 21 - 23 April 2017
Découvrez la biographie de Akram Khan, ses photos, vidéos. Né en 1974 à Londres de parents originaires du Bengladesh, Akram Khan est un danseur et chorégraphe britannique mondialement connu. Très jeune, il fait ses débuts au théâtre avant de se voir offrir, à quatorze ans, l’occasion d’incarner...
Cricket Golden Moments are Memorable. Classic Cricket Pictures. Old Cricket Pictures
Three hours of interviews, dance and music celebrate the creative power of one of the greatest dancers of the 21st century
Akram Khan’s stunning re-imagining is destined to become a contemporary classic.
Such a powerful scene from Akram Khan's Giselle! This mesmerising production is coming to Manchester and Bristol from 19-28 October for the first time... | artist
Bahok, AkramKhan ©Hugo Glendinning This article was commissioned by the Korean Arts Management Services and originally published in Korean for theApro.kr – a database website for the global…
Few people know London's arts scene better than the capital's Deputy Mayor for Culture; here she tells us what to expect for 2020
Dolma Tsering, famously known as Dolma Aunty who is credited with making momos the favourite snack of Delhi has won a court battle over the unauthorised use of her name and trademark.The Delhi High Court recently cancelled the "Dolma" trademark adopted by a man from UP who used the name without her permission.
World Premiere: 19 September 2006, Sadler's Wells, London
The kathak-trained choreographer has created a brand-new ballet that is haunted by the nineteenth-century original.