Mini Piste de Lecture:Qu'est-ce qui te fait penser à l'hiver?Grâce à leur caractère de devinette, les pistes de lecture sont une façon motivante d'entraîner la
Il existe trois type de coupe-faim : les fruits et légumes, les plantes et les compléments alimentaires. Découvrez comment ils agissent.
Je partage ici un nouveau petit jeu de carte en français. Celui-ci doit permettre aux élèves de s’entraîner à distinguer sens propre et sens figuré.
Voici une lecture faite en début d'année scolaire, après "La maîtresse est foldingue" avec mes CE1. Comme je n'avais que 3 semaines pour étudier cette histoire avant la fin de la période, j'ai choisi de leur lire le dernier chapitre (chapitre 7) dont...
Comment on fait les bébés ? Combien de temps dure la grossesse ? Mes parents m'aimeront-ils autant quand mon frère ou ma soeur naitra ? Quels seront les changements dans notre vie quotidienne ? Ce livre illustre à merveille les questions que peuvent se poser les enfants à propos de…
Titre : Mycroft Holmes Auteurs : Kareem Abdul-Jabbar & Anna Waterhouse Édition : Bragelonne (14/09/2016) Édition Originale : Mycroft Holmes (2015) Traducteur : Benjamin Kuntzer Résumé : Tout ju…
J’avoue que l’idée de faire l’inverse des solutions appliquées jusque là j’y croyais moyen moyen … mais j’ai un grand principe auquel je tente de me tenir : celui de toujours lire ou tester quelque chose avant de déclarer que ça n’a aucun intérêt. Parfois c’est une perte de temps et parfois beaucoup moins, donc je m’accroche à celui-ci. Très curieusement et par le plus grand des hasards, il se trouve que j’ai lu ce livre quasiment simultanément avec le roman de Nathalie Kuperman “Je suis le genre de fille” qui parlait justement d’une femme qui refusait de se soumettre à ces diverses injonctions dont on est assailli, notamment celle du bonheur. Et qui décidait précisément de faire l’inverse tout en réalisant que le résultat obtenu n’était absolument pas satisfaisant non plus. Faire son 180° c’est justement prendre le contrepied des injonctions paradoxales ou non qui nous contrôlent ou qui nous sont imposées de l’extérieur sans que l’on sache comment s’en défaire efficacement. Le moins que l’on puisse dire, c’est que j’ai été complètement bluffée par les pistes de résolution que ce livre propose. Ce qui nous affecte le plus, ce sont les relations avec les autres ! Pas de secret, nous sommes des êtres sociaux, nous avons besoin d’être reconnus, d’être intégrés dans des communautés humaines qui nous reconnaissent comme des leurs, nous avons besoin de partager, d’avoir des vrais amis, d’être aimé … Or quand on a du mal à établir des relations satisfaisantes avec les autres, on souffre et chacun l’exprime à sa manière. Quelqu’un qui est bien dans sa peau, ne cherche jamais à blesser les autres, à en dire du mal, à créer des conflits … C’est pour ça que je trouve intéressant tous les ouvrages/ méthodes qui s’intéressent à réparer la relation, car on règle du même coup beaucoup de problématiques et de comportements addictifs ou dysfonctionnants dès lors qu’on arrive à rétablir une relation satisfaisante avec les autres de celui qui en souffre. Qu’est ce que l’Ecole de Palo Alto ? La singularité de cette approche , c’est qu’au lieu de considérer que c’est l’individu qui a un problème qu’il faut soigner, il est considéré que c’est sa représentation de la réalité qui est dysfonctionnelle. Et ça change TOUT car l’individu n’est plus enfermé dans une pathologie mais souffre juste “d’un problème de réglage”. On estime qu’il n’existe pas une réalité unique mais plusieurs réalités puisque chaque individu crée la sienne et celle-ci est alors fonctionnelle ou dysfonctionnelle. En corrigeant la perception de cette réalité chez l’individu, ce qui le faisait souffrir et créait un problème, celui-ci disparait naturellement. Cette école s’intéresse aux relations à soi (confiance en soi) et relations aux autres. Du coup cette approche permet d’améliorer beaucoup de problématiques : celles que l’on retrouve dans les milieux du travail (burn out, conflits…), des troubles du comportements, les comportements addictifs … J’avoue que lorsque j’ai vu la liste des problèmes que l’on peut régler grâce à cette approche, je me suis dit que ça méritait quand même de s’y intéresser. Alors comment “L’idée maitresse étant qu’il s’agit plutôt d’influencer que de convaincre. Indirectement je vais proposer à mes patients de mettre en œuvre un certain nombre de comportements qui pourront leur paraitre bizarres, mais , comme ils l’ont constaté eux-mêmes jusqu’à maintenant, toutes les manœuvres de bon sens semblent avoir échoué. Par un effet boule de neige souvent très impressionnant par sa rapidité et par son efficacité, la simple modification d’un simple comportement, mais soigneusement sélectionnée comme porteuse du meilleur ratio effort-résultat, va générer un changement radical et définitif. En un temps court. L’outil de résolution de problème issu du modèle de Palo Alto est par nature paradoxal puisqu’il va s’agir, pour que la souffrance s’apaise, de renoncer à ce qui jusqu’à présent vous paraissait logique, parfois vital: un comportement de bon sens.” Il faut donc d’abord identifier le problème, celui-ci est à distinguer de la simple difficulté. Le problème est quelque chose qui fait souffrir. Ensuite il va falloir voir comment celui-ci fonctionne du point de vue des interactions entre les individus. Quelle injonction s’est mise place lors de toutes les tentatives de régulation. Contrairement à d’autres approches, on ne va pas chercher pourquoi il y a problème car les explications appartiennent aux problèmes et pas aux solutions, mais comment il se met en place. Le thérapeute peut donc prescrire le problème pour pouvoir l’observer ou demander au patient de réfléchir à toutes les raisons qui pourraient justifier de ne pas avoir à régler ce problème afin de prendre une décision en connaissance de cause ou encore amplifier certaines émotions ou prescrire le symptôme … le but de tout ceci étant de débrancher les situations de contrôle … en cessant de lutter contre , le problème, le symptôme perdent de leur intensité et s’éteint. Mais la première question préalable est : Etes-vous encore prêt à faire des choses pour que le problème soit résolu ? Pour illustrer tout ceci, l’auteure présente tous un tas d’exemples de patients traités avec cette thérapie brève de façon à nous aider non seulement à comprendre la logique de celle-ci mais peut-être aussi de trouver le problème qui est le notre ou celui de la personne que l’on veut aider. Dans tous les cas, il n’existe pas de thérapie type, il faut sans cesse s’adapter aux situations qui font souffrir. Ce que j’en pense Je l’ai dit, j’étais assez dubitative avant de comprendre les mécanismes de cette thérapie et de réaliser que si j’ai réussi à me défaire de certains de mes comportements dysfonctionnels (j’ai longtemps été boulimique), c’est précisément lorsque j’ai renoncé à vouloir exercer ma volonté pour contrôler ma consommation alimentaire. L’injonction de cesser de manger excessivement n’existant plus, le comportement avait naturellement disparu, mon alimentation était redevenu normale . J’avais attribué ce changement au fait que j’avais dû grandir et que j’étais peut-être moins stressée, je viens juste de comprendre à la lecture de ce livre qu’en acceptant de lâcher prise, j’avais supprimé ce qui maintenait le problème. Il y a bien sûr “une petite voix” qui me murmure que c’est trop beau pour être vrai et puis c’est tellement idiot d’avoir souffert d’un problème autant d’années alors qu’une thérapie aussi simple aurait pu y mettre fin en quelques semaines… Mais je sais aussi qu’en matière humaine, il suffit de peu de chose pour faire basculer les choses du mauvais ou du bon côté. Nous sommes fait à la fois d’une extrême fragilité et d’une énorme force et nous ne sommes absolument pas conscient et vigilant sur ce qui conditionne l’un ou l’autre. Ce que nous révèle ce livre est, à mon sens, extraordinaire, car il nous donne des clés pour mieux vivre et pour aider ceux que l’on aime. On ne devrait jamais cesser d’apprendre sur soi, sur notre manière de fonctionner comme êtres humains. C’est tellement une source d’épanouissement de savoir qu’on a des ressources pour affronter et dénouer tout ce qui nous pose problème et vivre mieux avec soi-même mais aussi les uns avec les autres ! Je suis d’autant plus enthousiaste que je partage complètement cette idée que de déclarer quelqu’un “malade” est le meilleur moyen pour l’enfermer aussitôt dans une soi-disant pathologie dont il va avoir le plus grand mal ensuite à se débarrasser car on inscrit durablement dans son cerveau l’idée de quelque chose qui le définit et l’emprisonne malgré lui alors qu’on peut y remédier très simplement. Les mots des autres nous définissent malgré nous et peuvent alors devenir selon le cas des prisons ou des fenêtres. Bref ! Vous l’avez compris ! Ce modèle de Palo Alto me passionne complètement, je n’ai ni fini de l’expérimenter, ni de vous en parler car je compte bien aller plus loin ! Je mets ♥♥♥♥♥ car c’est une lecture indispensable à mon sens et en plus, je ne vous cache pas que j’ai énormément ri à la lecture des différents cas. Emmanuelle Piquet a le don de dédramatiser les situations les plus difficiles et déjà rien que cela, fait un bien fou ! ACHETER SUR AMAZON FAITES VOTRE 180° – Emmanuelle Piquet (Editions Payot-Rivage chez Petite Biblio Payot)
Lapin est plutôt grand avec ses longues oreilles. En plus, il a un ballon. Mais pour jouer avec lui, il faut être à sa hauteur. « Tu es trop petite », sourit Lapin en se mesurant à la poule. « On f…
Toujours coupables de « peut mieux faire », paranos des kilos en trop ou admiratives de la famille parfaite, le regard de l’autre vous pourrit la vie? Vous déprimez sec en regardant les magazines féminins?… Ce petit livre ludique est fait pour vous! Cindy Ghys vous aide à renoncer à être la meilleure pour apprendre […]
Le cœur intègre fera toujours ce qu'il faut même si personne ne le regarde. Il n'a pas besoin de public ou de flatteries pour…
J’ai poursuivi ma réflexion -pendant ces vacances bien méritées- à propos des relations entre mes élèves. (Cet article fait suite à… Savoir plus
J'ai trouvé ce terme de "tempête émotionnelle" dans le livre d'Isabelle Filliozat "J'ai tout essayé". Ainsi, nous pouvons tous nous imaginer la situation que beaucoup de parents connaissent au moins X fois dans leur vie : colères, crises, caprices... Ce dessin et le texte qui l'accompagne (extraits du livre) l'illustrent à…
Dans une société où faire partie de la masse ne permet pas à l'être humain d'avancer rationnellement, émotionnellement et culturellement,…
Le livre Faire la paix avec soi d'Etty Hillesum aux éditions Points Vivre, 131 pages, 6 € 70. Pourquoi cette lecture : Il s'agit d'un partenariat avec les éditions Points collection Vivre. Je suis toujours très curieuse de découvrir les sagesses d'autrui. On apprend souvent les uns des autres et partir dans une lecture sans a priori, c'est être à l'écoute de ce l'on nous offre. Le pitch : L'attention portée à la vie brève et féconde d'Etty Hillesum, jeune juive hollandaise morte à Auschwitz à vingt-neuf ans, dépasse de loin le cercle des initiés. Jour après jour, dans un combat lumineux et acharné pour rencontrer la vérité et la réalité telle qu'elle est, elle confie à son journal son cheminement intérieur et son inébranlable parti pris d'espérance : la vie est "belle et pleine de sens" à chaque instant. Même les pires. Le temps de vivre est un calendrier perpétuel avec un enseignement de sagesse par jour, extrait de son journal et de ses lettres depuis le camp de transit de Westerbrok. Les extraits de "Le temps de vivre" sont axés sur sa transformation et sur son cheminement intérieur à portée universelle. Pour toucher un plus large public que celui qui l'identifie à l'enfer de la Shoah. Le processus de naissance à elle-même qui a été le sien est de tous les temps. Un livre qui brûle pour aujourd'hui. Ce que j'en pense : Petit ouvrage qui ne se lit pas d'une traite. Il s'agit d'un calendrier perpétuel que vous pouvez réutiliser à loisir. Aucune obligation non plus de le commencer au 1er janvier. C'est vraiment quand vous voulez, comme vous voulez. A chaque jour, une citation, une réflexion, une interrogation, une idée à lire et à relire. On s'enrichit, on apprivoise un nouveau mode de penser. On se recentre. On réfléchit. On peut regarder notre monde avec un regard neuf. Lecture au fil de l'eau, lente, assez contraire à notre mode de fonctionnement actuel où tout doit aller plus vite, plus loin. Cependant, c'est une lecture qui repose, qui remet les pendules à l'heure. Quelle date de quelques décennies ne se ressent pas vraiment, l'Histoire est une boucle. Texte intemporel qui trouve un écho donc. Belle plume qui joue avec les mots, certains concepts, mais toujours avec simplicité. Il n'est pas question de se torturer les sens. C'est plutôt le contraire. A découvrir et sans doute à méditer. Et s'il fallait mettre une note : 13 / 20
Les médias cachent presque systématiquement l’origine ethnique des délinquants et criminels ( voir ici ). Je tiens à rappeler que ces listes ne représentent pas tous les méfaits de France mais juste un relevé non exhaustif d’articles des presses régionales...
Tout d'abord, parlons de la première des 10 bonnes raisons de faire une reconversion professionnelle. Cela aide en cas de burn-out et de stress lié au
C'est une petite bande dessinée criante de vérité. Une BD qui parlera malheureusement à beaucoup de femmes (même si les hommes ne sont parfois pas épargnés), dans laquelle une dessinatrice évoque la tâche d'organisation et de planification des femmes dans la vie quotidienne et notamment ce que l'on appelle la "charge mentale", extrêmement compliquée à gérer. "Fallait demander." Voilà le titre évocateur de la BD d'Emma*, qui fait le buzz depuis sa publication sur les réseaux sociaux le 9 mai dernier. Plus de 47 000 réactions, 137 000 partages et 8000 commentaires : voilà la preuve que beaucoup se reconnaissent dans ces petits dessins.Avec des dessins simples et des légendes parlantes, Emma, ingénieure informaticienne de 36 ans, évoque cette fameuse "charge mentale." Elle commence : "À l'époque de mon premier boulot, j'ai été invitée à dîner chez une de mes collègues. Quand je suis arrivée, elle essayait de faire manger ses enfants tout en préparant notre repas. Au bout d'un moment, la casserole s'est mise à déborder… et tout a dégouliné par terre." Et Emma de raconter le dialogue entre son amie et son compagnon : "'Ohlala le désastre, mais qu'est-ce que t'as fait ?? – Comment ça qu'est-ce que j'ai fait ? J'ai TOUT fait, voilà ce que j'ai fait ! – Mais… fallait me demander ! Je t'aurais aidée !'"La "charge mentale" : quand l'un des partenaires doit toujours penser à toutEmma reprend : "Voilà une scène qui doit parler à beaucoup de jeunes parents. Et je trouve qu'elle dit plein de choses sur l'organisation qui se met en place à ce moment de notre vie. Quand le partenaire attend de sa compagne qu'elle lui demande de faire les choses, c'est qu'il la voit comme la responsable en titre du travail domestique. C'est donc à elle de savoir ce qu'il faut faire et quand il faut le faire. Le problème avec ça, c'est que planifier et organiser les choses, c'est déjà un travail à plein temps. Moi au boulot, quand j'ai commencé à gérer des projets, j'ai vite arrêté d'y participer. Je n'y arrivais pas. Alors quand on demande aux femmes de faire tout ce travail d'organisation, et en même temps d'en exécuter une grande partie, ça représente au final 75% du boulot. Les féministes appellent ce travail la charge mentale." La dessinatrice poursuit : "La charge mentale, c'est le fait de toujours devoir y penser. Penser au fait qu'il faut ajouter les cotons tiges à la liste de courses, que c'est le dernier délai pour commander le panier de légumes de la semaine et qu'on est en retard pour les étrennes du gardien. Que le petit a encore pris 3 centimètres et n'a plus de pantalons à sa taille, qu'il doit faire son 2e rappel de vaccin ou que le conjoint n'a plus une seule chemise propre. La charge mentale repose en quasi totalité sur les femmes. C'est un travail permanent, épuisant et c'est un travail invisible.""En nous demandant de leur indiquer les tâches à faire, nos partenaires refusent de prendre leur part de charge mentale"Emma pointe alors les différences de point de vue dans un couple : "Alors que la plupart des hommes hétérosexuels de mon entourage affirment partager les tâches à égalité avec leur compagne, les dites compagnes ont un point de vue assez différent. Pour moi, l'existence de cette charge devient flagrante quand je décide de m'atteler à une corvée simple comme par exemple débarrasser une table." Elle assure : "Je commence par prendre un objet à ranger, mais sur le chemin, je vais marcher sur une serviette sale, que je vais aller mettre dans le panier, que je vais trouver plein, je vais du coup faire une lessive et tomber sur mon panier de légumes qu'il faut mettre au frais. En rangeant les légumes, je vais me rappeler qu'il faut ajouter la moutarde sur la liste de course. Et ainsi de suite. Au final, je parviendrai à ranger ma table au bout de 2 pénibles heures. Pour la retrouver couverte de bazar le soir même. Si je demande à mon copain de ranger la table, il va juste ranger la table. La serviette va rester par terre, les légumes vont pourrir sur le plan de travail et on aura plus de moutarde pour le repas du soir. En fait, ce que disent nos partenaires, en nous demandant de leur indiquer les tâches à faire, c'est qu'ils refusent de prendre leur part de charge mentale.""Rien ne nous oblige à faire toutes ces choses mais quand on arrête, on pénalise toute la famille"Pour autant, Emma ne cherche pas à blâmer les hommes et tient à nuancer : "Bien entendu, ces comportements n'ont rien de biologique ou d'inné. Nous ne naissons pas avec une passion dévorante pour le rangement de table, de même que les garçons ne naissent pas avec un désintérêt total pour les choses qui traînent. Par contre, nous naissons dans une société où on va nous mettre très tôt des poupées et des petits aspirateurs dans les mains et où on va considérer qu'il est honteux pour les garçons d'aimer ces jouets. Où on va voir nos mère prendre en charge toute la gestion de la maison, pendant que nos pères ne font que participer à son exécution. Et où dans l'univers artistique et médiatique, les femmes sont principalement cantonnées au rôle de mère et d'épouse, tandis que les hommes sont les héros d'aventures passionnantes hors du foyer. Ce conditionnement va se mettre en place dès notre plus tendre enfance jusqu'à notre vie d'adulte. Et alors que les femmes accèdent de plus en plus au marché du travail, elle restent malgré tout les seules responsables du foyer."La dessinatrice conclut : "C'est sûr que rien ne nous oblige à faire toutes ces choses. Le problème, c'est que quand on arrête, on pénalise toute la famille. Du coup la plupart d'entre nous nous résignons à assumer seules la charge mentale, en grignotant sur notre temps de travail et notre temps de loisir pour pouvoir tout gérer (…). Pour changer les choses, il me semble évident que les hommes doivent apprendre à se sentir responsables de leur foyer. Ça peut aussi aider de mettre à plat et de répartir les tâches récurrentes et non critiques, même si ça implique de revoir à la hausse notre tolérance aux trucs qui traînent ! et puis aussi, tout simplement, être absentes, sans tout préparer et sans culpabiliser ! L'inversion des rôles est souvent plus efficace que la confrontation. Et bien sûr, élever nos enfants le plus loin des stéréotypes." Une bande dessinée aussi ludique que pédagogique à partager : rappelons que selon récente étude du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc), les femmes consacrent en moyenne 2,5 fois plus de temps aux tâches domestiques que les hommes.* L'histoire d'Emma est à retrouver dans Un autre regard, son premier recueil publié ce 10 mai chez Massot Éditions.Cliquez ci-dessous pour voir l'intégralité de la BD d'Emma Un sujet que je prépare depuis un moment !Et oubliez pas de venir Jeudi à La Caravane pour la séance de dédicaces de ma BD ;) y'a des chattes, des slips filets, et des dessins inédits rigolos !Posted by Emma on Tuesday, May 9, 2017 À lire aussi : Droits des femmes : ce qui nous choque en 2017
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