Les étals dans le temps
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Royan - Photos: Lankaart (c) Avec les villes de Dunkerque, Toulon, Le Havre, Saint-Dié et Calais, Royan fait partie des villes classées « laboratoire d'urbanisme et d'architecture moderne » en 1949. Cette décision gouvernementale visait à reconstruire...
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Histoire d'une maquette
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Les étals dans le temps
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Landscape with Rocks, near Royan, Odilon Redon, c. 1875, MoMA: Painting and Sculpture Gift of The Ian Woodner Family Collection Size: 8 3/8 x 10 1/2" (21.3 x 26.7 cm) Medium: Oil over black chalk on...
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Point d'orgue de la perspective du boulevard Aristide Briand, le marché central trouve très tôt sa place définitive dans la composition urbaine de Claude Ferret. Le projet, confié aux architectes Morisseau et Simon, acquiert son élégance avec la participation de l'ingénieur Laffaille qui oeuvre à Notre-Dame. Laffaille remporte la consultation en proposant de mettre en oeuvre un unique voile mince de béton plissé (9 à 10 cm). La forme de coquillage libère un vaste espace destiné à la vente. En façade, un remplissage béton et verre assure l'étanchéité de l'ensemble. De grands auvents indépendants de la coque s'élancent pour marquer les entrées. Les treize voûtes sont arrimées au sol par des câbles pour maintenir l'édifice ceinturé et débordent en toiture pour protéger les bancs de « plein vent » des commerçants. En guise de clef de voûte, un traitement de pavés de verre offre à la halle un subtile éclairage zénithal. Si l'investissement des architectes reste discret, celui de l'ingénieur se traduit par une prouesse technique sans équivalent à Royan. Le marché annonce la réalisation de Notre-Dame, avec la même dose d'innovation administrée par Bernard Laffaille et avec une continuité assurée, après sa mort en 1955, par René Sarger. Le Marché de Royan ouvre la voie à un certain nombre de projets qui reprendront ses lignes, soit à l'identique, pour le cirque d'État de Bucarest, soit en s'en inspirant, pour le projet du marché couvert de Nanterre (non réalisé).
Accessible par la rue du Printemps et, à l'arrière, par la contre-allée de l'Église Notre-Dame, cet immeuble symptomatique de la production architecturale des années 50 doit sa qualité à l'originalité de sa mise en oeuvre. Destiné à recevoir deux appartements autonomes, le projet se décompose en trois niveaux très différents. La cage d'escalier, scandée par des lucarnes de pavés de verre, et le dernier étage ont été placés en retrait, de façon à identifier la limite des propriétés. Un monumental cadre de béton orne le premier étage et offre aux chambres une coursive sur la ville. Sa partie haute se transforme en un balcon prolongeant l'étage supérieur. Son audacieux porte-à-faux permet en outre de protéger l'entrée des intempéries. Côté jardin, la double hauteur du séjour est signifiée par une imposante paroi perforée d'une pléiade de culs de bouteille. Cet astucieux filtre solaire confère au bâtiment toute son esthétique en réemployant l'élément principal du vocabulaire nautique : le hublot. Assurément différent des habituelles réalisations de Pierre Marmouget et d'Édouard Pinet, ce projet conserve cependant une qualité remarquable.
Campé sur une grande parcelle trapézoïdale, cet imposant bâtiment profite allègrement de la vue sur la plage de Foncillon et de la quiétude de la corniche. Si sa mise en œuvre a malheureusement pâti des transformations du temps, l'ensemble demeure un projet audacieux et de qualité. Trois dalles de béton reprennent par un savant calcul homothétique la forme du terrain et se superposent. Elles sont tenues équidistantes les unes des autres par quatre piliers. Un long mur de maçonnerie les traverse de part en part. Cette paroi insolite, outre son incontestable fonction porteuse, a la particularité de créer une limite franche entre le corps principal destiné à recevoir le séjour et un second volume où ont été réunies les pièces de second ordre. L'une de ses extrémités s'enroule autour de l'escalier hélicoïdal menant aux niveaux supérieurs. À l'origine, sa présence était signifiée en façade par une paroi circulaire, aujourd'hui transformée par un traitement de pavés de verre. Le retrait des larges baies vitrées permet de dégager deux plates-formes périphériques, offertes en balcon aux étages. Ce projet, tourné vers le soleil, révèle le souci qu'avait Quentin de concevoir des espaces agréables et lumineux.
Dessiné par Claude Ferret
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Du canot à la photo
Préservée des regards amateurs par les méandres de la rue des Sirènes, ce petit chef-d'œuvre d'architecture balnéaire a su tirer parti de l'étroite parcelle qui lui était dévolue. Campé sur une dizaine de pilotis, ce nid singulier mêle sa structure à l'épaisse frondaison des arbres alentour. Le sol, ainsi affranchi, accueille à couvert bancs et tablettes utiles aux occupants. Seul, un garage constitue le rez-de-chaussée, reléguant à l'étage tous les espaces de vie. Un escalier droit permet d'accéder à une petite terrasse et à l'entrée. Protégée par le débord de la dalle de toit, cette agréable plate-forme, semblable au pont d'un navire, accueille le visiteur. Une virgule de béton, rehaussée de bleu, encadre la porte tandis qu'une pléthore d'oculi tapisse la paroi du fond. L'habitation s'organise selon la forme d'un « L » autour de ce noyau. Georges Vergnaud qui, après sa participation au chantier du boulevard Briand et la construction de la villa double « Brise-Lames » sur le boulevard Garnier, opère ici un véritable tour de force, en reniant ses acquis les plus académiques, pour offrir à Foncillon un véritable concentré d'architecture moderne.
D epuis plus d'un siècle Aigue Marine s'affirme comme la star du boulevard Garnier. De fait cette villa, que les Royannais ont surnommé « le petit Chambord-sur-Mer », n'a rien de commun avec ses voisines, à commencer par la parcelle qu'elle occupe. Bâtie au début du XXe siècle pour Léon Lehmann, l'un des fils de Léon Lehmann aîné (1845-1909), un modeste commerçant doué d'un sens des affaires hors norme qui avait présidé aux destinées des Nouvelles Galeries, Aigue Marine a connu des hôtes prestigieux, dont Sacha Guitry et Yvonne Printemps, locataires de la demeure l'espace d'une saison de l'entre-deux-guerres. Tombée aux mains de l'entreprise Quillery, qui y aménagea ses bureaux d'étude lors de la Reconstruction, la villa fut ensuite découpée en appartements, sans que cette nouvelle affectation ne lui nuise, car elle n'a pas entraîné de profonds bouleversements. Publiés dans un numéro de la revue Monographie de bâtiments modernes, les plans d'Aigue Marine ont été dressés par un Parisien de renom, Henri Deglane (1855-1913), surtout connu comme l'un des trois architectes du Grand Palais de Paris. Les travaux de gros œuvre ont été confiés à des entrepreneurs locaux, comme Jules Robert (voir p.380), en charge des maçonneries, le menuisier Hible, tandis que la quincaillerie, le chauffage et les appareils sanitaires étaient commandés à Paris. Des artisans d'art extérieurs étaient chargés d'exécuter des tâches requérant un savoir-faire particulier, à l'instar du serrurier Maison, établi dans l'Aube, auteur de la magnifique grille d'entrée du boulevard Garnier. Grâce à un terrain qui ne lui a imposé que peu de contraintes, Henri Deglane a pu faire montre de son talent, en développant un programme, certes traditionnel, mais de proportions peu communes. Pour preuve, les pièces de réception, qui s'organisaient autour d'une imposante cage d'escalier en bois, comprenaient outre le salon et la salle à manger accompagnée de l'indispensable office, un bureau avec accès indépendant, une salle de billard et une salle de jeu pour les enfants. Communiquant avec l'atelier de peinture de la maîtresse de maison, qui était sous les combles, la partie supérieure de la tour formait autrefois un espace cylindrique ouvert à tous vents. Cette formule qui n'a que peu d'équivalent à Royan, si ce n'est à la villa Les Campaniles, peut se lire comme un compromis architectural entre la chambre panoramique et les kiosques ou belvédères*, très en vogue, posés ici où là dans les jardins ou à l'extrémité des clôtures.
Une villa de l'Oasis
Le Corbusier n'a utilisé ici que du local
Treize cobras leucistiques viennent de naître à Planet Exotica à Royan. C'est une première pour le pour le parc animalier.
Préservée des regards amateurs par les méandres de la rue des Sirènes, ce petit chef-d'œuvre d'architecture balnéaire a su tirer parti de l'étroite parcelle qui lui était dévolue. Campé sur une dizaine de pilotis, ce nid singulier mêle sa structure à l'épaisse frondaison des arbres alentour. Le sol, ainsi affranchi, accueille à couvert bancs et tablettes utiles aux occupants. Seul, un garage constitue le rez-de-chaussée, reléguant à l'étage tous les espaces de vie. Un escalier droit permet d'accéder à une petite terrasse et à l'entrée. Protégée par le débord de la dalle de toit, cette agréable plate-forme, semblable au pont d'un navire, accueille le visiteur. Une virgule de béton, rehaussée de bleu, encadre la porte tandis qu'une pléthore d'oculi tapisse la paroi du fond. L'habitation s'organise selon la forme d'un « L » autour de ce noyau. Georges Vergnaud qui, après sa participation au chantier du boulevard Briand et la construction de la villa double « Brise-Lames » sur le boulevard Garnier, opère ici un véritable tour de force, en reniant ses acquis les plus académiques, pour offrir à Foncillon un véritable concentré d'architecture moderne.
Sans doute l'une des réalisations les plus originales de l'avenue des Tilleuls, cette petite maison de ville s'inscrit dans la lignée des projets décoratifs, emblématiques de la Reconstruction de Royan. Le rez-de-chaussée, en retrait par rapport au trottoir, offre un espace intermédiaire qui accompagne le visiteur à couvert, de l'extérieur vers l'intérieur, jusque vers l'étage où le séjour a été imaginé loin des nuisances de la rue. Reprenant ainsi les dogmes initiés par Le Corbusier, l'architecte affirme clairement son appartenance au mouvement moderne. Pour preuve, l'extraordinaire façade du premier étage, percée d'une pléiade d'oculi de verre, projette vers la ville son unique baie telle un écran urbain qui rappelle aux passants la richesse décorative des années 50. À l'arrière, un balcon accessible depuis le jardin offre aux pièces de séjour une agréable terrasse abritée qui invite les occupants à prendre possession du terrain. Ce projet illustre parfaitement le savoir-faire architectural et stylistique de Pierre Marmouget dont la signature décorative et ornementale a, ici, été fidèlement réutilisée pour surélever le bâtiment d'un étage, tout en conservant le style et les qualités architecturales d'origine.
Cet élégant immeuble du boulevard Germaine de la Falaise semble avoir adopté un style proche de son homologue voisin. Ses proportions généreuses lui permettent de bénéficier d'une vue imprenable sur la conche de Foncillon. Établis selon un plan en « L », les deux appartements de cette petite copropriété occupent chacun un plein niveau. L'ensemble est décomposé en deux volumes distincts opposés par leurs angles. L'un, orienté plein sud, regroupe le séjour et les principales pièces à vivre, tandis que le second, plus haut et en retrait par rapport à la rue, rassemble les chambres. Le sous-sol, que la faible emprise au sol tend à faire disparaître, confère au bâtiment une réelle légèreté. Seule, une majestueuse cage d'escalier, dissimulée derrière un surprenant claustra de béton, semble rattacher les étages au jardin. Les façades ont également été reculées afin d'allouer aux étages de vastes balcons périphériques. Leur traitement partiel en pavés de verre, adjoint aux porte-à-faux des terrasses, apporte ombre et fraîcheur aux pièces les plus exposées aux rayons du soleil. Ici, la composition en trois strates rappelle étrangement celle du numéro 7 de la même rue. L'architecte Marc Quentin se voit ici confier deux commandes similaires auxquelles il répond par des démarches comparables.
Ayant bénéficié d'une partie du vaste terrain de la villa « Marquisette », ces deux maisons mitoyennes profitent du calme offert par la proximité de l'impasse. À cheval entre les quartiers de Pontaillac et de Foncillon, la parcelle a été divisée en deux lots différents. Un voile unique de béton sert de toiture à l'ensemble et reprend la forme des ailes ouvertes d'un papillon. Cette métaphore aérienne est largement accentuée par le traitement du rez-de-chaussée. Seul un plot de maçonnerie, regroupant circulations et espaces techniques, repose au sol. Ajouré par l'utilisation de hublots et de parpaings de verre, il libère un vaste espace périphérique et permet au jardin d'étendre son emprise. De solides piliers supportent les porte-à-faux de l'habitation. Ils traversent la dalle et se transforment en filins métalliques semblant empêcher les volatiles de s'envoler. Le niveau supérieur, dessiné simplement, élance ses terrasses, telles deux proues de bateaux. Ce projet constitue l'une des rares interventions de Louis Belasco seul. Il participera toutefois à la reconstruction de nombreux îlots, parmi lesquels les numéros 50, 22 N et ceux du boulevard Briand qui restent les plus remarquables.
Implantée sur une parcelle profonde située sur le boulevard Garnier et accessible à l'arrière par l'avenue du Parc, la Villa « Ombre Blanche » domine la Grande Conche. Flanqué de deux bâtiments emblématiques de la Belle-Époque, son plan en forme de « U » inégal s'ouvre généreusement sur le jardin. Le contraste marqué des volumétries et des matériaux n'est pas sans rappeler celui de la très célèbre Villa « Savoye » de Le Corbusier. Mais, l'utilisation des pilotis, des enduits lisses et blancs, de l'escalier hélicoïdal et surtout la façade biseauté et le toit à double pente inversée témoignent aussi des influences de l'architecture brésilienne des années 40, initiée par Oscar Niemeyer ou Affonso Reidy. La façade, ouverte sur l'océan, composée d'un soubassement de grès rouge rehaussé d'un volume symétrique maintenu en porte-à-faux par de fins pilotis métalliques, est comparable au design des postes de radio de la même époque. La taille des fenêtres a été définie selon la hiérarchie des pièces auxquelles elles font référence et un exceptionnel jeu de polychromie achève le traitement de la lumière. Projetée par l'architecte Bonnefoy, réalisée pour et par Monsieur Taunay puis meublée avec la collaboration de l'entreprise Prainville, cette réalisation caractéristique du mouvement moderne demeure l'une des plus remarquables de Royan.
Si rares sont les petits immeubles de qualité, celui-ci est l'exception qui confirme la règle. Confondu dans la succession de ses homologues, il tend à se faire remarquer. Un rez-de-chaussée aux proportions lilliputiennes l'enracine dans la large perspective de l'avenue de Pontaillac et confère à l'ensemble une stabilité exagérée. Trois niveaux distincts se superposent. La composition plutôt classique du premier, identifiable par sa majestueuse verrière, l'assimile aux ateliers d'artistes parisiens. La dénivellation naturelle du terrain lui permet de bénéficier, à l'arrière, d'un jardin de plain-pied. Le second niveau, traité de manière curieuse, projette ses volumes vers la ville et offre aux chambres un énigmatique balconnet accroché à la façade, telle une loge sur la rue. Un dernier niveau, à la configuration proche de l'attique, affiche timidement sa présence par de petits percements rectangulaires qui lèchent le toit-terrasse, de sorte à en accentuer le décollement. À l'arrière, la façade, plus largement ouverte, permet un rapport privilégié avec le jardin. Baraton, Bauhain et Hébrard répondent ici avec beaucoup de virtuosité à un programme qu'ils n'ont que rarement abordé dans le cadre de la Reconstruction. Loin de faillir à la tâche, ils réalisent un bâtiment original et adapté aux contraintes du terrain à double niveau.
Située tel un petit immeuble en bordure de rue, la villa « Hélianthe » doit sa courbe à la nécessité de raccorder la bande bâtie du boulevard de la Grandière au siège des Ponts et Chaussées, construit quelques années auparavant, par le même architecte bordelais. Elle se décompose en un rez-de-chaussée disparaissant dans la pénombre, un premier étage en porte-à-faux, supporté par une série de fins poteaux métalliques et un second étage dont le retrait libère une grande terrasse. Son plan était initialement conçu pour accueillir trois logements et un cabinet dentaire. La façade principale, largement exposée aux rayons du soleil et au littoral, a été pensée pour offrir une multitude d'ambiances aux espaces intérieurs. L'utilisation de claustras et de retraits apporte la profondeur et la légèreté utiles au traitement de la lumière. La mise en valeur des éléments structurels permet, quant à elle, de jouer avec les pleins et les vides. Libérées de toute contrainte constructive, les parois, béantes sur l'océan, ont été mises en retrait et laissent deux coursives courir tout le long du bâtiment. Certes, l'ensemble de ces dispositifs architecturaux est nourri d'exemples d'outre-mer et du Brésil, mais Yves Salier, élève et collaborateur de Claude Ferret, fait preuve ici d'une grande imagination plastique en empruntant très tôt ce vocabulaire balnéaire.
La villa Hélianthe, le reportage complet
Laissez-vous séduire par la station balnéaire de Ronce-les-Bains, la Côte Sauvage, l'immense forêt de La Coubre et le port ostréicole de La Grève. Sur la
Ville de seniors une bonne partie de l’année, Royan s’offre chaque été un bain de jouvence avec l’arrivée des touristes, souvent des habitués qui ont trouvé dans ce coin de la côte de Beauté, le spot ...
C’est dans un parc à Royan, (la ville natale d’Alexandrine), à l’ombre des pins que l’on retrouve cette villa incroyable. Au sortir de la guerre, la ville renaît de ses cend…
Tout sur Royan, son histoire, son architecture, sa culture. La mémoire vive encyclopédique de Royan et du Pays Royannais en Charente-Maritime, actualités, histoire, art et culture, sports et loisirs, gens d'ici
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Illustration originale Loizo, NOUVEAU PAPIER 270gr Type Lithographique. Signée par l'artiste et timbre à sec de certification d'origine apposé. La sardine (Sardina pilchardus) est une espèce de poissons de la famille des Alosidae (qui comprend également l'alose). Selon la région, elle prend les noms de célan, célerin, pilchard, royan, sarda, sardinyola ou magne. C'est la seule espèce de son genre.Son nom provient de la Sardaigne car les Grecs avaient remarqué qu'elle abondait dans ses eaux côtières Cadre non inclus Port GRATUIT A PARTIR DE 60€ D'ACHAT!
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