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Utagawa Hiroshige: Sagami-gawa / Fuji Sanju Rokkei - British Museum
Mizuno Toshikata (1866-1908) is one of these hapless artists like Chikanobu, Gekko, Kobayashi or Tomioka Eisen who were born at the wrong time. Traditional ukiyo-e had gone down the drain. And when the new renaissance of Japanese printmaking had set in with Shin Hanga and Sosaku Hanga, they were too old to join the dance party.
Thirty-Six New Forms of Ghosts was the last major woodblock print series designed by the Meiji master Tsukioka (Taiso) Yoshitoshi. The series is about ghosts and demons and all kind of supernatural stories from the Japanese mythology and old folk tales. While Yoshitoshi worked on the series, his own mental condition deteriorated more and more. On June 9, 1892, he died from what doctors had diagnosed as a cerebral hemorrhage.
Yoshitoshi Tsukioka (Taiso) was born on April 30, 1839. The given name of Yoshitoshi was Yonejiro. He lived during a period of great turmoil and upheaval in Japan. After the forced opening of the country by a US fleet, Japan underwent an often bloody transition from a feudal society to modern Japan. Yoshitoshi's personal life was like an analogy of this difficult era.
Vous allez me fuir à force de manger des temples tous les jours. Mais aujourd’hui je change un peu. Nan, ce sont toujours des temples mais je vais cracher sur l’un et fortement vous inviter à voir l’autre. Commençons par le Kodai-ji, construit en 1606 à la mémoire de Hideyoshi toyotomi. Il est constitué de deux jardins, l’un sec et l’autre plus classique avec un érable et un petit pont en bois. Simple mais charmant tout de même. Le bâtiment principal avait un intérieur magnifique, fait de dorures et de peintures murales. Avait, oui. Car il a brulé en 1902. Ba oui, c’est sur, le bois ça brûle. Tentez de foutre le feu à l’arc de triomphe, y’a peu de chance qu’on soit obligé de le reconstruire. Du coup maintenant, il n’y a plus de dorure, ce qui ne l’empêche pas d’être très élégant. Le genre de maison qui donne envie d’y vivre, si les portes n’étaient pas en papier. On peut y entrer après avoir retiré ses chaussures, flâner dans son modeste intérieur. Photos interdite cela va de sois. Sur le côté, en face de la petite terrasse en bois, se trouve le jardin sec, ou jardin zen. Je connaîs pas trop la différence. Et la, je me sens un tout petit peu floué. On m’a vendu ça dans la brochure et les photos à l’entrée : et j’ai le droit à ça : Alors d’accord, de temps en temps, il faut refaire les choses bien proprement et tout… mais si je l’avais su, je serais venu un autre jour. Soyons honnête, le zen, je le vois pas trop là. C’est pas grave, je continue la petite promenade. Chaque bâtiment à son guide, qui raconte l’histoire de ce qu’on a sous les yeux. L’idée est louable car trop souvent, on manque d’informations. D’ailleurs, ca me rappelle quand j’étais devant les constructions qui sont le plus en haut du jardin. Le guide raconte l’histoire du lieu et nous montre l’intérieur, ajoutant au passage une petite anecdote. Et la, on a tous rit ensemble parce que c’était drôle. Mais j’ai pas compris. Bon, on s’emmerde un peu ici quand même. il reste le coin « bambou » pour sauver cette visite qui me déçoit globalement. 10 mètres de bambou, c’est léger quand même. Je voyais ça plus grand d’après les photos. Foutu photos ! Elles sont prises pour vous faire croire des choses mais c’est un mensonge ! Bilan plutôt très moyen. Ce que j’ai trouvé bien n’est pas mieux que dans les 50 autres temples que j’ai déjà vu et ce qui aurait pu le distinguer des autres était sois en rénovation soit tout pourri. Je pense, mais ce n’est que mon avis, que c’est le genre de temple à voir soit au printemps (cerisiers en fleur) soit à l’automne (momiji rouge orangé), à la nuit tombée. Il aura un tout autre aspect et aura plus de chance de vous charmer. Changeons de jour et changeons de lieu. Je vois trop de chose en trop peu de temps alors je ralentis mes visites à une par jour. En plus ça me fait moins de boulot pour tout vous raconter. Sanjusangendo signifie littéralement « 33 espaces » ou « 33 intervalles ». C’est son nom officieux car son vrai nom est Rengeo-in. On l’appelle ainsi car c’est le nombre d’intervalle qui sépare chaque colonne de ce temple de 120 mètre de long. Vous imaginez un peu ce que ça fait 120 mètres ? C’est important pour la suite alors essayez de vous le représenter. C’est assez long mine de rien. C’est pas pour rien que c’est la plus longue structure en bois du monde. D’extérieur, il n’y a rien d’exceptionnel, c’est un style plutôt classique et en effet très allongé et étroit. Le jardin autour est presque inexistant et de toute façon, personne n’y va car c’est pas le principal intérêt de ce temple. Tout ce passe à l’intérieur à vrai dire. Enlevez vos chaussures, allez-y, mettez vous à l’aise. Prenez les chaussons dans le bac par terre et venez avec moi. Quand je suis venu, je ne me souvenais plus de ce que j’allais voir. Je lis tellement de choses sur mes futurs visites que je mélange un peu tout donc, quand je suis rentré et que j’ai vu ça, j’ai juste fait : « wouaw ». (les photos ne sont pas de moi car elles sont interdites). 1000 statue de Senju kanon sont disposée sur 10 rangées de 100 statues !!! Ces statues de bois ont été sculpté par Tankei, Kozyo et Unkei. Elles sont bien entendu unique, assemblées en plusieurs pièces et recouvertes d’or. Devant ces 1 000 statues, on trouve les représentations de 28 saint serviteurs de Kanon et deux dieux gardiens : raijin, dieu du tonnerre et Fujin, dieu du vent. Au centre de cet incroyable ensemble trône kanon déesse aux 11 visages et aux 1000 bras. Pour vous donner un ordre de grandeur, les petites statue de la photo ci-dessus, mesurent 1m60. Ce temple, en plus d’être original et impressionnant (vraiment impressionnant !) est en plus parfaitement adapté au public étranger. Tout est traduit en anglais. Devant chaque saint serviteur, il y a une description avec ses origines, son nom original sanscrit, et son histoire. C’est vraiment un plaisir de tout lire, ne rien retenir bien sûr et de ne pas se sentir mis de coté à cause de la langue. Maintenant, vous devez oublier ce temple pour avoir une vraie surprise quand vous irez le voir, un jour. Tu oublies… tu oublies tout…
Thirty-Six New Forms of Ghosts was the last major woodblock print series designed by the Meiji master Tsukioka (Taiso) Yoshitoshi. The series is about ghosts and demons and all kind of supernatural stories from the Japanese mythology and old folk tales. While Yoshitoshi worked on the series, his own mental condition deteriorated more and more. On June 9, 1892, he died from what doctors had diagnosed as a cerebral hemorrhage.
Katsushika Hokusai: Lake Suwa - Fugaku Sanju-rokkei - Artelino
Sanju Roku kasen (Thirty-six Selected Beauties) Tea Ceremony. A lady in black kimono is entering a tea house. Light rain is falling. (Hoei era 1704 - 1710).
Toshihide Migita was a painter, illustrator and woodblock print designer of the Meiji period. His print output was rather prolific and belongs to the better ouevre of prints from the Meiji period. Best appreciated are his triptych designs of Russo-Japanese naval battles.
Kunisada Utagawa (1786 – 12 January 1865) was born near Edo (today Tokyo) as the son of an affluent merchant with a ferry boat license. At the age of fifteen he joined the famous art school of Utagawa Toyokuni and took the name Kunisada. During his lifetime Kunisada was considered to be the best print designer. He was more popular than Hiroshige, Hokusai or Kuniyoshi.
Prakashan Puthur is an Indian artist who specializes in watercolor paintings and acrylic paintings. His recent series of a simple village life in Kerala, India is very beautiful.
Mizuno Toshikata (1866-1908) is one of these hapless artists like Chikanobu, Gekko, Kobayashi or Tomioka Eisen who were born at the wrong time. Traditional ukiyo-e had gone down the drain. And when the new renaissance of Japanese printmaking had set in with Shin Hanga and Sosaku Hanga, they were too old to join the dance party.
Thirty-Six New Forms of Ghosts was the last major woodblock print series designed by the Meiji master Tsukioka (Taiso) Yoshitoshi. The series is about ghosts and demons and all kind of supernatural stories from the Japanese mythology and old folk tales. While Yoshitoshi worked on the series, his own mental condition deteriorated more and more. On June 9, 1892, he died from what doctors had diagnosed as a cerebral hemorrhage.
Toshihide Migita was a painter, illustrator and woodblock print designer of the Meiji period. His print output was rather prolific and belongs to the better ouevre of prints from the Meiji period. Best appreciated are his triptych designs of Russo-Japanese naval battles.
Kunichika Toyohara was born on June 30, 1835 in the Kyobashi district of Tokyo - formerly called Edo. His original name was Yasohachi Oshima. Around the age of eleven or twelve, he became a student of the ukiyo-e master Chikanobu (not Chikanobu Toyohara, his later student). At the age of thirteen he entered the studio of Kunisada as an apprentice - probably on recommendation by Chikanobu.
“Geisha from the Hiramatsu Restaurant” from the series “Tokyo Sanju Rokkaiseki,” (36 famous Tokyo restaurants and geishas) Toyohara Kunichika (1835 - 1900) 1870