The discovery of Prussian blue represents the intersection of art and science and changed the course of art forever.
Déjà vu? It’s a well-known fact that fashions work in cycles. Sometimes the cycle is obvious, like the current resurgence of 1950s and 1960s fashion or the 1970s love of reinterpreting Renais…
Edwin Longsden Long 1829-1891 Engeland
I'd like to end the week by sharing these illustrations created by Florence Harrison (1877-1955) for two volumes of William Morris' poetry: The Defence Guenevere & Other Poems and The Early Poems of William Morris. Both editions were published by...
Holly Lund specializes in portraits and headshots for the most discerning family.
Conestoga Creek And Lancastermore paintings
Oil on canvas 81 1/2 x 48 1/2 (207 x 123.2 cm) Marie Claire de Croy, Duchess d'Havre and Child - Anthony van Dyck 1634 Fine Arts Museums of San Francisco The Legion of Honor legionofhonor.famsf.org Lincoln Park | 100 34th Avenue | San Francisco, California 94121 USA
From billowing dresses and maternity corsets intended to conceal a woman's baby bump to the formfitting trend seen on expectant mothers today, see how pregnancy fashion has changed over the years.
Italian noblewoman costume. Renaissance fashion history.16th century clothing. Moda Rinascimento italiano nel 16 ° secolo.
Photo (c) Nathanaëlle C. Demeure de Jean Baldeyroux Il existe dans les rues du centre-ville historique d'Aurillac, de nombreux anciens hôtels particuliers, j'irai même jusqu'à dire qu'il en est superbement "truffé" pour le plus grand plaisir des amoureux du patrimoine, et la beauté de cette ville. Mais pour l'Hôtel Baldeyroux, (prononcer "Baldérou") le propriétaire avait un peu "triché", voici la preuve visible par le passant : Photo : (c) Nathanaëlle C. Ceci dit, la dite "triche" est tout de même très réussie et agréable à l'oeil, on ne vous en veut pas du tout Monsieur Baldeyroux ! Bien au contraire, je fustige toujours les constructions dites "contemporaines" de mauvais goût, car le contemporain n'exclut pas pour autant l'esthétisme et l'élégance. Photo (c) Nathanaëlle C. Cette demeure se trouve dans la rue des Frères, près de la rue Baldeyroux, où se situe la maison natale de Jean Baldeyroux et ainsi nommée en l'honneur de ce bienfaiteur de la ville. L'orthographe exacte du patronyme de Jean dit Félix Baldeyroux est "Baldairoux" ainsi qu'il est précisé dans le registre d'Etat Civil de 1817. Photo (c) Nathanaëlle C. Porte d'entrée Fils de Guillaume Baldairoux, tanneur de son état, et de son épouse née Thérèse Gamet, Jean Baldeyroux naquit le 26 novembre 1817 au 33 rue Saint-Marcel, (aujourd'hui rue Baldeyroux, ainsi précisé plus haut dans le texte). A l'age de 17 ans, il partit sur les routes de France, vers la capitale, où il devint "Auvergnat de Paris", (à partir de la fin du 18ème siècle, des centaines de milliers d'Auvergnats "montèrent" à Paris, et créèrent l'association des "Auvergnats de Paris"). L'entraide fut efficace, Jean Baldeyroux put s'installer au 61 rue de l'Arcade dans le 8e arrondissement près de la rue de Rome, (emplacement actuel de La Cigogne), afin d'ouvrir un magasin de "curiosités". L'homme eut le bonheur de faire fortune grâce à ses "curiosités" (au XIXe siècle, on désignait sous ce nom, des petits objets d'Art venus des quatre coins du monde, de la quincaillerie fine jusqu'à la bijouterie de choix etc... source info : Musée Carnavalet). Photo (c) Nathanaëlle C. Détail du toit Très attaché à sa ville natale, Jean Baldeyroux, après avoir épousée Lucie Dartiguelouve, revint souvent en Auvergne et fit reconstruire cette maison au 6 rue des Frères. Des vestiges achetés au Domaine de la Condamine, (route de Vic), cheminées, portes et fenêtres des XVe et XVIe siècles, furent utilisés pour ce bâtiment. L'illusion est parfaite pour le néophyte. Ce qui en fait, à mes yeux, une demeure extraordinaire... Comme le "Jardin Extraordinaire" de Charles Trenet ! Il suffisait pour cela d'un peu d'imagination... Photo (c) Nathanaëlle C. Détail de la dentelle du toit Ancienne balustrade du Domaine de la Condamine Républicain convaincu, Jean Baldeyroux souhaitait qu'après son décès cette maison devint une école laïque pour les enfants de 3 à 7 ans. Il y rendit l'âme le 12 septembre 1888. Son testament stipulait que la demeure soit offerte à la ville d'Aurillac bien que sa soeur Marie Baldairoux-Magis en eut la jouissance. Il offrit également des objets de collection visibles au Musée d'Art et d'archéologie. Mais la plus grande partie de ses biens, (argenterie, porcelaines, tableaux, tapisseries...) furent vendus par la ville à l'Hôtel Drouot et à des antiquaires. Grâce aux 100 000 francs récoltés, la ville d'Aurillac put faire restaurer les écoles primaires Jean-Baptiste Rames et Belbex. Le souhait de Jean Baldeyroux fut donc à moitié exaucé car une école ne pouvait s'installer en ces murs du 6 rue des Frères. La maison fut vendue elle aussi en 1896, car même le projet d'un Musée de l'Education ne vit pas le jour. Rue des Frères à Aurillac Photo (c) Nathanaëlle C. On reconnait la demeure de Jean Baldeyroux, 2e maison sur la droite Au Moyen-Age, la rue des Frères (à cette époque nommée "Carrièra des Fraires-Minor") était le fief des tanneurs qui, au XVIIe siècle, déménagèrent hors les murs (aujourd'hui à l'emplacement de la rue des Tanneurs) en raison de la pollution offactive occasionnée par le tannage des peaux. En 1762, entre les petites échoppes, la chapelle Notre-Dame de Bon-Secours fut construite à la demande de la population, avec les pierres de la Porte des Fargues (ancienne porte des remparts) puis achetée par l'aubergiste Visseq, elle fut hélas démolie sous la Terreur. Photo(c) Nathanaëlle C. Demeure de Jean Baldeyroux à gauche de la façade à colombages
Joan of Toulouse was the only daughter of Count Raimund VII of Toulouse and his wife Sancha of Aragon the last Countess of Toulouse