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PRINCESS Diana’s goddaughter has received her first pay cheque after she wowed bosses at a Brighton cafe. Domenica Lawson, who has Down’s syndrome, secured her first job last month at t…
Princess Diana Memorial - the Cafe Diana Coffee Shop in London, Kensington Gardens. Meeting Peter Moore at a Bizarre Princess Diana Memorial
PRINCESS Diana’s goddaughter has received her first pay cheque after she wowed bosses at a Brighton cafe. Domenica Lawson, who has Down’s syndrome, secured her first job last month at t…
Café Diana opened in 1989 opposite the North entrance to Kensington Palace. The café does not just pay tribute to the late Princess of Wales, but Lady Di often visited it herself with her two
Nous sommes de retour de Paris où nous avons passé un peu plus d’une semaine – qui ne nous a pas suffit pour faire tout ce que nous avions prévu, mais nous a donné envie d’y revenir bientôt. Je me sens ressourcée : j’ai vu tant de choses intéressantes, belles, nouvelles ou intemporelles que je fais encore des rêves éveillées. Selon notre avis, les villes se visitent à pied. Donc, nous avons beaucoup marché, en choisissant des itinéraires différents pour profiter ainsi des splendides bâtiments et monuments qui se hissent à chaque coin de rue, et de la généreuse floraison des tulipes, des cerisiers et des magnolias qui règnent dans les parcs et les jardins, et jusque dans le charmant vignoble de Montmartre. Nous sommes entrés dans une quantité innombrable de petites et grandes boutiques qui proposent des objets venus du monde entier et dégusté des thés et des cafés que l’on ne retrouve pas dans le sud. Nous avons goûté des pâtisseries bretonnes, portugaises ou américaines (les cheese-cakes, carrot-cakes, muffins et cookies géants, très en vogue, sont partout !), avons dégusté beaucoup de spécialités « exotiques », fait plein de provision d’épices dans les boutiques ethniques et passé plusieurs heures dans les librairies. Nous avons aussi visité quelques musées qui nous ont échappé au cours de nos précédentes pérégrinations (et pour lesquels il ne fallait pas faire une queue de plus d’une heure), comme le musée du quai Branly, à voir et à revoir, l’Orangerie avec ses nymphéas et son exposition sur les expressionnistes italiens (les Macchiaioli), le musée Maillol où en ce moment se tient une petite, mais fascinante exposition sur le verre de Murano, ou le Petit Palais qui présente les très beaux œuvres des impressionnistes slovènes (jusqu’au 13 juillet). Mais notre véritable coup de cœur a été pour le musée Eugène Delacroix. Il est situé dans la dernière demeure du peintre (que nous admirons beaucoup), ce qui le rend très émouvant. Ici se trouvent quelques tableaux et objets appartenu à l’artiste - comme ses palettes dont il parle dans son Journal (en vente dans la boutique du musée ; je prends note de le relire dès mon retour… et après les nouveaux livres que nous avons acheté), et on peut visiter également l’atelier et le petit jardin qui lui a été cher. En parlant de jardins, j’ai adoré le parc et les jardins du château de Versailles et, malgré mon scepticisme de départ, j’ai été conquise par le château ; d’ailleurs, j’ai pris plus de deux cents photos de lui (sans compter celles qui ont été photo-bombées par les touristes chinois). Dans un esprit complètement opposé, le quartier de la Défense m’est paru toujours aussi fascinant, bien qu’il ait énormément changé depuis notre dernière visite ; je l’ai trouvé beaucoup plus humanisé, plus vert et plus fleuri. En plus de la nourriture spirituelle et de la « malbouffe » (ça fait du bien, parfois), nous avons testé les burgers du Camion qui fume et déjeuné avec des amis dans un petit restaurant sympathique. Enfin, nous avons pris une bière à la santé de mon beau-père dans le bistrot Le gros cailloux, le même qu’il a fréquenté pendant sa jeunesse estudiantine et qui n’a absolument pas bougé. Après tout, Paris reste Paris.
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PRINCESS Diana’s goddaughter has received her first pay cheque after she wowed bosses at a Brighton cafe. Domenica Lawson, who has Down’s syndrome, secured her first job last month at t…
Boor Bridges Architecture has become a go-to design firm for third-wave coffee establishments in San Francisco. In addition to Sightglass 20th Street, it counts The Mill, Four Barrel Coffee, and Sightglass's first location in SOMA in its portfolio of cafes and shows no signs of slowing down.
Situé à quelques pas du canal Saint Martin, le café Craft nous a paru un étonnant havre de tranquillité – en particulier au cours d’une après-midi ensoleillée de la fin du mois d’avril, quand on reste avec l’impression que tous les habitants et visiteurs de Paris se sont donné rendez-vous au bord de l’eau. Nous sommes venus ici pour le café, sachant que c’est l’un des meilleurs de Paris, mais aussi pour l’endroit. Parce que, loin d’être un café banal parmi tant d’autres, le café Craft incarne un concept complètement novateur. Inspiré par les cafés de co-working nés à Brooklyn et importé pour la première fois à Paris par Augustin Blanchard, l’endroit correspond à un besoin nouveau d’une génération mobile ou travaillant de chez soi. Cette idée (et sa réalisation) est formidable : nous sommes de plus en plus nombreux à mener des projets individuels contre vents et marées et à éprouver la nécessité de travailler ne serait ce que quelques heures par semaine dans un endroit sympathique et propice aux échanges d’idées. Ici, on peut venir avec son ordinateur au gré de ses envies et travailler sous un agréable son de jazz léger, en savourant une boisson chaude et un morceau de carrot cake ou un de ces muffins énormes qui vous font un clin d’œil du comptoir. Le wi-fi est très haut-débit et l’ambiance, signée Pool, très épurée. On dispose aussi d’une grande table, permettant d’organiser une réunion ou tout simplement de discuter avec des gens qui mènent des activités similaires - ou diamétralement opposées. Mais on peut également s’installer confortablement sur le canapé au fond de la salle et feuilleter les derniers numéros des meilleurs journaux de décoration intérieure (comme nous l’avons fait), en profitant d'un excellent café. Au cœur du concept du Craft, ce dernier est fourni par le torréfacteur artisanal Lomi et sa préparation est assurée par un matériel haut-de-gamme et un savoir-faire respectueux du produit. Pour une première approche, nous avons dégusté le « café d’origine du moment ». C’est un produit de terroir que l’on propose à une période précise de l’année : en ce moment, il s’agissait d’un café de Ruanda que j’ai trouvé exceptionnel. Pour la prochaine fois, ce serait surement un café avec du lait, comme celui qu’avaient pris nos anglophones voisines de table et qui avait l’air absolument séduisant. Café Craft 24, rue des Vinaigriers 75010 Paris http://cafe-craft.com (Merci à Augustin Blanchard pour sa coopération)
München ist die Heimat einer lebendigen und vielfältigen Café-Szene, die sich in den letzten Jahren enorm weiterentwickelt hat. Hier kann man der isländischen Kaffeekultur begegnen, in einem ehemaligen Kurzwarenladen nebenbei noch eine Spülbürste kaufen, das weisse Kaninchen aus „Alice im Wunderland“ treffen oder einfach bei einem „Gscheid-Haferl“ entspannen. Dabei ist diesen Cafés eines gemeinsam: Den Inhabern geht es um guten Kaffee, der häufig aus kleinen, regionalen Röstereien stammt, um eine besondere Philosophie und um einzigartige Konzepte. Sie setzen auf hochwertige Produkte, hausgemachte Kuchen und frisch zubereitete Speisen. Die Autorin Diana Hillebrand hat 35 aussergewöhnliche Cafés besucht und bei einer Tasse Kaffee deren Besitzer kennengelernt. Denn es sind gerade die Geschichten der Inhaber, deren Persönlichkeit und deren Ideen, die diese Cafés zu etwas Besonderem, zu einem zweiten Zuhause machen. Stimmungsvolle, hochwertige Fotografien nehmen den Leser mit auf eine sinnliche Entdeckungsreise in die Münchner Café-Welt. Rezepte gewähren einen kulinarischen Einblick in die oft winzigen Küchen.
La grisaille s’est installée, et je n’ai rien trouvé de mieux pour me remonter le moral que de ranimer les souvenirs de nos voyages. Au printemps, nous avons passé un week-end à Bruxelles, avec un programme très chargé, mais aussi avec l’inébranlable espoir de visiter (ou revisiter) quelques lieux emblématiques de la ville. J’ai profité de ce séjour très court pour ramener de nouvelles photos et des impressions de nouveaux endroits, et aussi pour faire quelques rectifications des billets concernant notre précédant séjour. Revenant récemment des Pays-Bas, notre première tâche était de comparer les frites de Bruxelles et d’Amsterdam. Certains « spécialistes » de la cuisine de rue considèrent que les frites amstellodamoises sont les meilleures, mais tous les Belges que nous avions rencontrés nous avaient expliqué qu’aucune frite du monde ne pouvait arriver à la cheville des frites belges. De plus, nous sommes restés avec l’impression qu’on trouve des baraques à frites à chaque coin de rue. Pourtant, nous n’en avons pas vu une seule au cours de toute notre première journée ! Ce n’est que le lendemain que, en passant à côté de la Bourse, nous sommes tombés sur Fritland (49, rue Henri Maus). Le verdict ? Les frites de Fritland étaient dorées et croustillantes, mais comme la méthode traditionnelle exige de les faire frire dans du bœuf-blanc (graisse de bœuf), elles laissaient un arrière-goût peu plaisant. Nous leurs avons préféré les frites d’Amsterdam (du kiosque au marché Albert Cuyp) qui étaient encore plus épaisses et plus savoureuses … et qui donnaient l’impression d’être plus légères - si on peut parler de légèreté quand il s’agit de frites ! La prochaine fois, nous essayerons de tester la baraque à frites de la place Flagey, réputée meilleure de Bruxelles ... En réalité, notre promenade a commencé par la Grand-Place que nous avons traversé plusieurs fois, nous arrêtant devant ses bâtiments baroques aux riches décorations et son marché aux fleurs, et nous frayant un chemin entre ses nombreux restaurants, cafés et chocolateries, concentrant toujours des foules de touristes impressionnantes. Dans le premier billet concernant notre précédant séjour à Bruxelles, je vous avais parlé du Café de Bruxelles qui se trouvait au numéro 12 de la Grand-Place. Nous y avons mangé sur le pouce, nous offrant nos toutes premières impressions des spécialités bruxelloises – les croquettes de crevettes, la carbonnade flamande et les gaufres bruxelloises, sans oublier la « Mort Subite », cette bière de type lambic à l’arôme de caramel. J’avais surtout aimé la vue imprenable que cet endroit donnait sur la Grand-Place … Cependant, ce café n’existe plus : ici se trouve maintenant Le Hard-Rock Café Bruxelles. Le restaurant-brasserie « La Roue d’Or » (que j’avais aussi beaucoup apprécié, pour son décor magrtittien, son service impeccable et ses mets savoureux) propose des menus relativement légers avec un bon rapport qualité/prix à l’heure du déjeuner en semaine – mais pas le week-end. Les spécialités belges, plutôt nourrissantes, présentent une expérience intéressante après une journée pluvieuse et épuisante, mais il est plus difficile de se motiver à les essayer au beau milieu d’une journée ensoleillée. Le petit plus : il nous a bien semblé qu’en fin de semaine, il n’y a pas besoin de réserver à l’heure du déjeuner. Les villes américaines (et désormais françaises) ont leurs food-trucks ; Bruxelles à ses camions à gaufres. Nous trouvant au milieu de l’après-midi sur la Place du Grand Sablon, nous avons voulu répéter l’expérience du déjeuné rapide de croque-monsieur à la pâtisserie Wittamer. Mais comme il faisait très beau, sa terrasse ensoleillée a été prise d’assaut. Après la longue attente, les traditionnels petits pains qu’on sert avec du beurre nous sont apparus comme une bouée de sauvetage méritée. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu servir la bière avec des cacahuètes (et bonnes, en plus !), et j’ai trouvé très charmants ces pichets miniatures qui permettent de doser le sirop selon son goût. Je me suis aperçue que le croque-monsieur avait rapetissé depuis la dernière fois … Moi, j’ai été tentée par le « croque italien », lui aussi idéal pour une petite faim. Dimanche midi, nous avons retrouvé notre ami flamand et fier de l’être qui nous avait donné rendez-vous dans le quartier vivant et coloré des Marolles. Sous le Palais de justice, nous avons découvert une petite place, vouée aux petits restos et aux cafés aux belles terrasses. Nous avons réussi à trouver une table pour huit personnes (dont quatre petites) chez Le Quartier gourmand (18, rue de l’Épée) et nous avons commandé des énormes salades et des bols de pâtes dans une ambiance sympathique et enfants-friendly. Salade de chèvre au miel, pommes, tomates confites, lardons et pain d’épices Pennes au pesto, tomates-cerises, pignons de pin, parmesan et roquette Les fameuses croquettes de crevettes bruxelloises (qui m’ont rappelé les traditionnels bitterballen néerlandais, croquantes à l'extérieur et fondantes à l'intérieur) Nous avons aussi beaucoup marché dans les rues, les regards perdus vers les belles maisons aux pignons du vieux Bruxelles ... Ou captés par les trésors gourmands exposés par les innombrables chocolateries ... Ou par d’autres trésors cachés de Bruxelles. J’ai beaucoup aimé les promesses fleuries des Galeries royales (passage Saint-Hubert). C’est vrai que l’ancienne ville manque cruellement de fleurs et d’herbes folles, alors toute initiative allant dans ce sens, comme ces bacs débordant de fleurs printanières, me semble bonne à prendre. Pendant que nous profitions de la belle vue qui s’ouvre sur le vieux Bruxelles depuis les jardins royaux, des centaines de ballons blancs ont été lâchés dans le ciel pour une occasion dont le sens m’avait échappé. A proximité de l’avenue Louise, nous avons essayé de suivre une partie de l’itinéraire très ambitieux des édifices de style Art nouveau & Art Déco que j’avais préparé. Puis, dans une impasse partant de l’avenue, nous avons trouvé par hasard ce petit resto qui m’a l’air très romantique avec sa cour débordante de végétation luxuriante. J’aimerai bien y revenir bientôt.
http://www.prettypicsdelightfultips.tumblr.com
Princess Diana Memorial - the Cafe Diana Coffee Shop in London, Kensington Gardens. Meeting Peter Moore at a Bizarre Princess Diana Memorial
Sightglass Coffee in San Francisco serves up a compelling alternative to the daily at-home ritual. Photo 3 of 10 in Coffee Break: Sightglass 20th Street, San Francisco by Diana Budds. Browse inspirational photos of modern homes.
« Et demain matin, on ira manger des beignets au Café du Monde », a dit mon frère avant de nous séparer après la soirée passée sur Bourbon Street dans le Carré Français. C’est tout ce que je pouvais espérer : en fait, goûter les fameux beignets « français » du Café du Monde est l’une des choses obligatoires qu’on doit faire à la Nouvelle-Orléans (très bientôt, j’essayerai de vous donner la liste de toutes les autres …). Ces beignets, que les sources américaines décrivent généralement comme des « french donuts », ont été importés en Louisiane au 18e siècle par les Acadiens, descendants des colons français établis au Canada francophone. Jadis, ils ont été préparés pour le Mardi Gras (que l’on fêtera demain … d’où ma nostalgie pour la Nouvelle-Orléans), mais ils sont actuellement proposés quasiment 362 jours par an à tout moment de la journée au Café du Monde. Le désormais célèbre café a ouvert son premier établissement à proximité du French Market (rue Decatur) en 1862. Parsemés généreusement de sucre glace qui leur donne l’air de petites montagnes enneigés, les beignets du Café du Monde sont vendus par trois et s’accompagnent par le non moins célèbre café au lait de la maison. Et voilà que nous sommes retrouvés à faire la queue devant le Café du Monde sur la rue Decatur (actuellement, il existe plusieurs établissements sur d’autres endroit en Louisiane et même à l’étranger), entourés d’autres curieux venus de loin pour goûter les fameux beignets. Nous sommes passés par cet endroit à divers moments de la journée, et j’ai vu que l’impressionnante file d’attente ne diminuait jamais. Mais l’attente n’est pas très longue, et pour nous elle était même agréable, parce qu’elle s’est passée sous les sons de la merveilleuse musique de jazz jouée par un vieux musicien noir assis juste à côté. En fait, la vraie attente commence une fois quand on est installé à table ; il faut tout simplement se laisser profiter du moment, en regardant le ballet incessant des serveurs qui se faufilent entre les tables avec leurs plateaux chargés de beignets, de tasses et de gobelets. Le café au lait peut être assez surprenant pour quelqu’un qui refuse de s’habituer au goût du « café » américain, car il est mélangé à la chicorée (censée lui procurer « une saveur de chocolat »). Toutefois, sous le format « café au lait consommé dans un endroit mythique », il est plutôt agréable. Et les beignets ! Malgré mon léger scepticisme quant à leur qualité, à cause des quantités quasi industrielles que l’on voyait sortir du point chaud, j’ai été agréablement surprise par le croustillant et la légèreté de ces beignets. Et la recette des beignets du café du Monde se trouve ici …
Pośród zgiełku miasta znajdziesz miejsce kameralne, które przeniesie Cię do innej rzeczywistości. To właśnie tutaj w cieniu drzew skryjesz się w upalne dni, to tu zatracisz się w śpiewie ptaków. Meho...
« Fonteyn » est un café très prisé par les jeunes habitants d'Amsterdam, mais aussi par les visiteurs de la ville. Il est situé au nord du centre historique et du Nieuwmarkt (le "Nouveau marché" qui fonctionne mais que nous avons boudé), à deux pas de la tour de la porte Saint-Antoine (De Waag). L'ami néerlandais de ma fille, qui parle un peu français (en plus de l’anglais, bien évidemment) et selon les dires duquel le néerlandais est un peu comme de l’allemand simplifié, a essayé gentiment de nous traduire le nom du café Fonteyn : « Un jet d’eau ? » - « Fontaine ? » - « Oh yes, fontaine !...» Il y règne une ambiance chaleureuse et lumineuse, grâce aux meubles en bois foncé et le papier peint fleuri. Comme c’est la règle pour les cafés néerlandais, ici on peut non seulement prendre un café, mais aussi snacker, déjeuner ou dîner. Le bar semble également bien fourni. Nous avons goûté une bière blonde brassée à Amsterdam par une petite brasserie, la Brouwerij't IJ, très légère et agréable, accompagnée du snack local, les Bitterballen (boulettes). Les Bitterballen, ainsi que les Kroketten (la même chose, mais de forme allongée) font partie des spécialités culinaires néerlandaises les plus caractéristiques. Le nom des Bitterballen vient du « bitter », un mot qui désigne les différents apéritifs qu’elles accompagnent traditionnellement. On les prépare avec de la viande (veau, bœuf, poisson …) et une espèce de roux à base de farine, de bouillon et d’épices (poivre noir, noix de muscade et parfois du curry). Elles sont toujours frites, et sont croustillantes à l’extérieur et fondantes à l’intérieur. On les sert avec un petit bol rempli de moutarde douce, mais pas sucrée. C’est un peu surprenant comme plat, il faut le reconnaitre, mais il marche bien avec la moutarde et la bière. Café Fonteyn Nieuwmarkt 15 Amsterdam www.cafefonteyn.nl